
Tout commence en 1890, à Béziers, dans le Languedoc : c’est là que la famille Pugibet pose les fondations de ce qui deviendra le domaine La Colombette. 
Depuis, quatre générations se sont succédées dans la vigne et le vin, toujours au même endroit, “aux portes de Béziers, face à la Méditerranée”. 
Voici ce qui frappe : la famille Pugibet ne se contente pas de cultiver la vigne, ils renouvellent l’approche.
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François & Vincent Pugibet ont fait du domaine un lieu d’innovation — cultures résistantes aux maladies, vins à faible alcool, zéro alcool, conversion bio, etc. 
 
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Leur démarche : garder l’élégance du vin tout en s’engageant pour la planète, pour la modernité, pour des consommateurs qui veulent moins d’alcool mais pas moins de goût.
 
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Le domaine est aujourd’hui reconnu pour ses expérimentations : nouveaux cépages résistants (PiWi), vinification allégée, gammes “sans alcool”.
 
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Ils ont su faire évoluer un domaine classique en “domaine d’avenir”, tout en restant attachés à leur terroir.
 
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Et surtout : la liberté — liberté de boire, liberté de produire, liberté d’innover.
 
En résumé, La Colombette, c’est :
Un vignoble familial, enraciné en Languedoc depuis 1890, qui fait le pari de l’innovation sans trahir la tradition.
Du vin “tel qu’on l’aime”, mais repensé pour aujourd’hui.
Si tu ouvres une bouteille “Pugibet”, t’as les racines (le terroir, l’histoire) + la modernité (le style, l’éthique) !
      
     
  
  
    
      
        
        Un vin désalcoolisé, c’est un vrai vin, mais sans l’alcool.
C’est pas un jus de raisin déguisé. Non.
On parle d’un vin classique, fermenté comme n’importe quel autre, sauf qu’à la fin, on retire l’alcool.
Et c’est là que la magie (et la technique) opèrent.
Il existe plusieurs méthodes, mais les plus utilisées sont :
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La distillation sous vide à basse température
→ on chauffe très légèrement le vin sous pression réduite pour faire évaporer l’alcool sans “cuire” les arômes.
(Un peu comme faire chauffer à feu doux un plat fragile.)
 
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L’osmose inverse
→ on fait passer le vin à travers une membrane ultra-fine qui filtre les molécules… dont l’alcool.
Ça demande un peu de matos, mais le résultat est là : structure et arômes préservés.
 
Dans les deux cas, l’objectif, c’est que le goût reste, mais que l’alcool parte.
Et quand c’est bien fait (comme chez Pugibet par exemple), ça donne des vins qui ressemblent à du vin… et pas à un jus de raisin.
Et puis c'est pour tout le monde !
Les femmes enceintes, les gens qui bossent, ceux qui veulent modérer leur conso, les curieux, les sportifs, les abstinents, ou juste ceux qui veulent boire bon sans boire d’alcool.
C’est aussi un sacré terrain de jeu pour les accords mets-vins à midi, les apéros de semaine, les grandes tablées du dimanche où tout le monde ne veut pas de 13° dans son verre.
Le vin désalcoolisé, c’est le goût du vin, la structure du vin, l’élégance du vin… sans les effets de l’alcool.
Et si c’est bien fait, ça bluffe. Vraiment !